mercredi 16 juin 2010

Dormir dans les bras de l'autre

Dans un ancien post sur mon précédent blog, je parlais déjà du fait de dormir dans les bras de l'autre.
Je disais que cela n'existait que dans les films et que ce n'était qu'une invention pour nous mettre mauvaise conscience. Impossible de dormir avec qqn aussi près de soi ; c'est inconfort et transpiration assurée !

Je dois, selon toute vraisemblance, réviser mon avis et contredire ce que j'écrivais précédemment. En effet, dans ma nouvelle relation, l'un de mes plus grand plaisir et que ma moitié appuie sa tête sur ma poitrine et que je la serre dans mes bras ... TOUTE LA NUIT. Autre position délicieuse est quand elle le met en position de foetus, que je me colle à son dos et que je l'entoure à nouveau dans mes bras. MMMMMMMMMMMMMHHHHHHHHHHH


Mais comment est-ce possible ? Est-ce que j'ai changé ? Est-ce elle qui est différente ? Est-ce que je m'étais simplement persuadé que ce n'était pas possible et que le fait d'avoir essayé une fois avec succès m'a fait changé d'avis ?

Mon impression va plus loin. Elle est simplement FAITE POUR MOI ! Ou plutôt nous sommes faits l'un pour l'autre. Outre le fait que des sentiments forts nous réunissent, j'ai l'impression que chimiquement, physiquement, "chaleureusement", nous nous accordons à merveille et, quand nous sommes collés l'un à l'autre, nous ne sommes plus qu'un.
Alors oui, il arrive que parfois je me réveille au milieu de la nuit en ayant l'impression d'être manchot tant le sang a de la peine à circuler dans mes bras mais c'est généralement après quelques bonnes heures de sommeil.

De là à généraliser pour tout le monde, je ne sais pas. Je me sens simplement PRIVILEGIE...

Les gaffes

Il m'est arrivé une mésaventure ce matin qui m'inspire cet article.

J'ai écrit un tendre message à ma moitié mais elle ne l'a pas compris comme je souhaitais l'exprimer et elle est restée bloquée sur un point qui me semblait, lors de la rédaction, pas essentiel. Après coup, je dois avouer que la formulation n'était vraiment pas bien choisie et il est donc parfaitement normal qu'elle tique.

Résultat des courses, elle a certes compris le fond du message mais la seule impression qui lui reste, c'est ce message qui lui est resté coincé dans sa gorge.

Tout le monde connaît ce genre de situation où on veut bien faire et qu'on tombe à plat. La question est de savoir quoi faire après que cela se produise car malgré toutes les précautions que l'on peut prendre, on n'est jamais à l'abris de ce genre de malentendus.

Je vous préviens tout de suite, je n'ai pas de recette miracle ou de tactique idéale. Je remarque seulement les choses suivantes :

- Autant il est important d'expliquer l'intention de base pour comprendre où exactement se situe le malentendu, autant il faut éviter de trop insister sur la chose et ne pas renforcer la mauvaise impression.
- Il ne me semble pas opportun de se répandre en excuses. Certes des excuses sont nécessaires mais trop d'excuses renforce le sentiment qu'on a fait qqch de faux. Alors oui, il y a erreur mais elle est involontaire et ne devrait pas être stigmatisée.
- Faire disparaître le message peut aussi renforcer cette impression qu'on ressent une culpabilité. A l'inverse, le laisser peut aussi être problématique vu que l'autre pourra le reconsulter et donc renforcer son sentiment, voire le ressortir plus tard. Là j'ai donc un dilemme.

Finalement, la vie de couple est truffée de petites erreurs et les sentiments doivent être suffisants pour surmonter ces petites épreuves qui, au final, contribuent souvent à renforcer l'attachement.

Mon amour, merci de m'accepter comme je suis, avec mes erreurs et manques. Je t'aime PLUS QUE TOUT.

mardi 15 juin 2010

Les connaissances en langue

Quand on cherche un nouveau job, on est forcément confronté à la question des langues. Quelles langues puis-je noter et surtout quel niveau ai-je ?

La première question est souvent rapidement répondue. D'après nos origines, nos études ou nos expériences, on a été confrontés à une ou plusieurs langues ... ou pas. Mais bon, déjà là, on peut se demander, dois-je noter les langues que j'ai vaguement abordées lors de mon cursus ... ou dois-je me limiter à celles où je me sens sûr, pour éviter de me faire coincer sur une langue, si on décide durant l'entretien de me poser des questions dans cette fameuse langue. Et puis, quid des langues anciennes,  si je les ai étudiées ? On ne peut pas dire que cela me servira au quotidien dans mon travail et pourtant j'ai investi pas mal de temps dans leur étude et j'estime que cela m'a apporté qqch.

Vient ensuite la question du niveau. Là évidemment, il y a une différence entre le niveau perçu par soi-même et celui qui sera donné par l'intervieweur (ça existe comme terme ?). Soi-même, cela dépend de son assurance. On connaît parfaitement son cursus tandis que l'interlocuteur ne peut se baser que sur les éléments dans le dossiers qu'il doit / peut vérifier lors d'une conversation live. Certains ont tendance à se sur-estimer, d'autres à complètement se dénigrer... Certains ont un vocabulaire très fourni, connaissent bien les règles de conjugaison et de grammaire, mais n'ont jamais vraiment pratiqué et donc ne peuvent pas mettre à profit leurs compétences.

Tout cela vient encore troublé par le fait que ce domaine du recrutement est, par définition, une espèce de concours où chacun fait du marketing sur sa personne pour essayer de se présenter sous le meilleur jour, quitte à un peu sur-estimer certains aspects. On peut alors se demander si l'honnêteté paye ...

Voilà, je viens de peindre les différentes difficultés de ce domaine ... mais bon, cela ne fait pas avancer le schmilblick. Que dois-je faire dans ce genre de situation ???
En réalité, il me semble qu'en abordant le sujet par ce côté-là, on passe à côté de l'essentiel. En effet, on aborde cela du côté du JE ... alors que par définition on se connaît normalement pas si mal. A mon sens, il faut plutôt essayer de se mettre à la place de son interlocuteur et essayer de comprendre ce qui pourrait l'aider à mieux nous connaître et surtout quelles informations lui sont utiles.

Pour ce qui est des langues à mentionner : lesquelles apportent réellement quelque chose. Lesquelles estimé-je m'ont apporté qqch et continuent à me l'apporter ? Les autres, on les oublie, cela fait étalage de science et contribue à encombrer le CV avec des informations inutiles.

Pour le niveau, à quoi bon se prétendre bilingue pour ensuite se faire démonter lors d'un entretien. Au final, les mentions "basic, avancé, bilingue, fort, moyen, parlé, écrit, ...." ne veulent plus dire grand chose. On les utilise à tort et à travers. Pourquoi ne pas être plus précis ? Voici quelques exemples : "Je travaille depuis 10ans exclusivement dans cette langue", "3 ans d'étude dans cette langue", "Je comprends tous les textes mais il me manque de la pratique", "je peux vous chanter tout Mickael Jackson", ...

En guise de conclusion, je reviendrais sur l'idée de se mettre à la place de l'autre et de se poser la question de savoir qu'est-ce que nous-même, on aimerait lire ou entendre ... Finalement, si votre interlocuteur, dans un entretien, n'est pas convaincu par votre manière de faire, c'est que cette entreprise n'est probablement pas celle où vous vous sentiriez bien.

vendredi 12 février 2010

America's cup : cap ou pas cap ?

cap ou pas cap ?
Espérons que personne n'éternuera ou ne lâchera un vent ... sinon ils vont à nouveau annuler...



Private blog vs Blogger

Jusqu'à là, j'ai toujours préféré publier mes messages sur mon blog privé. J'y apprécie l'indépendance, l'impression d'en faire exactement ce que je veux, le fait qu'il ne soit pas directement lié à mon nom même si j'assume complètement ce que j'y écris.

Mais voilà, il faut actualiser régulièrement la plate-forme et franchement cela m'ennuie...

Alors vais-je franchir le pas et venir définitivement ici ?